Nouveau projet au Liban

Ces dernières années ont été difficiles pour le Liban, car l’église a – à juste cause – concentré la plupart de ses efforts sur l’assistance à l’afflux des réfugiés Syriens. Plusieurs d’entre eux se sont installés dans la vallée de la Bekaa, où les montagnes sont dépourvues d’arbres et où l’érosion est en hausse.

En janvier, A Rocha Liban ont planté des arbres indigènes dans le cadre du projet de restauration des forêts Qab Elias dans la Bekaa. Cette nouvelle initiative a été conçue  avec l’aide des habitants de la région afin de faire face à la perte des arbres et fournir un bel endroit ombragé où les adultes et les enfants peuvent profiter d’un pique-nique, jouer et apprendre à connaitre la faune et la flore. La vallée de Bekaa est l’une des principales routes de migration au monde, et, par conséquent, la forêt où les oiseaux migrateurs peuvent se nourrir et se poser est cruciale. De plus, la construction d’un étang est en cours pour offrir un abri où les oiseaux peuvent s’abreuver et se baigner.

Ce projet a été lancé à l’occasion du jour de l’Indépendance en novembre, lorsqu’ un élève de chacune des 12 écoles de la ville a planté un petit cèdre du Liban. Ils ont écouté le Maire alors qu’il expliquait pourquoi tout le monde devrait apprécier et soigner l’environnement. Nous espérons que d’ici la fin de l’année, les refugiés participeront à certaines des activités pratiques. Le projet est fondé par la Fondation Chino Cienega (Etats Unis).

Le nouvel étang, de six mètres sur dix, a déjà été creusé et délimité (A Rocha Liban)

Le nouvel étang, de six mètres sur dix, a déjà été creusé et délimité (A Rocha Liban)

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